La forêt offre tellement de richesses qu’en maîtrisant les cinq techniques suivantes, vous y survivrez heureux le temps d’une petite aventure !
Savoir s’orienter
Tout au long de votre parcours, balisez les bifurcations en marquant des arbres et notamment l’ écorce. Si vous vous perdez, oubliez la légende selon laquelle la mousse pousserait au nord : regardez plutôt votre boussole ! À défaut, puisque le soleil se lève à l’est, fiez-vous à la position de l’ombre des arbres. S’il fait nuit, repérez la « casserole » formée par la Grande et la Petite Ourse, puis, au bout de sa « poignée », l’étoile polaire : elle pointe toujours vers le nord.
Faire un feu
Impossible de survivre dans les bois sans un feu pour vous réchauffer, sécher vos vêtements, manger et boire sainement, ou vous éclairer. Pour connaître la méthode consistant à en faire un, consultez notre article « Comment faire du feu en survie ? ».
Bien s’hydrater
Votre hydratation est absolument fondamentale, puisque votre organisme peut tenir 3 semaines sans manger, mais pas plus de 3 jours sans boire. S’il n’existe aucun point d’eau dans votre forêt, vous pouvez récupérer l’eau de pluie ou même la rosée des herbes ou des feuilles grâce à un tissu propre que vous essorerez ensuite. Pensez aussi aux infructuosités de rochers qui retiennent parfois de l’eau.
Dans tous les cas, purifiez votre eau. Si vous n’avez pas de pastilles à cette fin, faites-la bouillir au moins 3 minutes (vous pouvez ensuite y mettre des aiguilles de pin pour lui donner meilleur goût). Pour l’eau de pluie ou la rosée, il peut suffire de la laisser dans une bouteille transparente en plein soleil pendant au moins 6 heures, une méthode à appliquer en saison de grosse chaleur.
Trouver de quoi se nourrir
La forêt offre d’innombrables sources d’alimentation possibles.
– Plantes et baies : orties, trèfle, feuilles de pâquerettes ou de bardane, pissenlits, violettes (feuilles et fleurs), lierre terrestre, mûres, sureau (baies et feuilles), bouleau (feuilles et sève), etc. Sont autant de nourritures potentielles. Bannissez les plantes qui renferment un jus laiteux et les champignons. En cas de doute, écrasez une baie ou une feuille de la plante sur votre peau : si une réaction urticante se déclenche, abandonnez immédiatement ! Sinon, mâchez-en une mini quantité : si le goût est amer, recrachez tout, car là encore : danger !
– Insectes, exceptés ceux qui piquent ou mordent (moustiques, araignées…), et en enlevant les ailes et les pattes de ceux qui possèdent une carapace.
– Vers ou larves, mais surtout pas de chenilles.
– Gibier et poisson, bien sûr, si la forêt est traversée par un ruisseau ou renferme un petit étang.
Quel que soit l’aliment, une seule règle d’or : faites-le cuire pour en éliminer les éléments toxiques. Et n’oubliez jamais qu’il vaut mieux souffrir un peu de la faim que risquer de vous empoisonner le corps…
Choisir un lieu approprié pour la nuit
Même si vous n’allez pas vous construire un hôtel 3 étoiles, prévoyez au moins 2 heures pour préparer votre bivouac. Si vous trouvez un arbre tombé ou penché, posez des branches de part et d’autre et recouvrez-les de feuilles, par exemple, pour vous construire une tente végétale. Sinon, installez-vous au pied d’un arbre dont les branches vous serviront d’ abri.
Quel que soit l’endroit, ne dormez pas à même le sol : constituez-vous un matelas de branchages, de feuilles, et tout autre matériau confortable et sec, disponible. Profitez aussi de ces éléments pour vous recouvrir et vous protéger du froid. Attention à l’ hypothermie.
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Par : Thomas Revest
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