Conquis lors d’une précédente session de karting, vous souhaitez acquérir votre propre kart pour ne faire plus qu’un avec lui. Le souci, c’est que vous ne savez pas bien quel engin choisir en fonction de votre catégorie… Voici quelques conseils pour y voir plus clair. Relevez donc votre visière et lisez !
Choisissez votre modèle de kart en fonction de votre expérience
Comme vous pouvez vous en douter, la plupart du temps, les catégories correspondent à des exigences et des modèles spécifiques.
Pour les débutants, les catégories telles que les KF1 (élite), KF2 (espoir) ou KF3 (junior) avec lesquelles les compétiteurs de haut niveau courent habituellement sont à proscrire ! Tournez-vous plutôt vers un kart dont l’entretien est facile et dont la maniabilité est aisée.
La catégorie KF1, par exemple, nécessite un matériel très performant qui demande généralement de l’expérience.Effectivement, les pneus à gomme extra-tendre sont difficiles à appréhender…
La formule FFSA permet de courir avec un monotype, modèle conçu pour éviter de tout débourser dans son équipement sportif et notamment dans les différentes pièces du véhicule. Cela convient donc bien aux budgets modérés.
Quand on aime on ne compte pas, certes ! Mais quand même… Le prix d’un kart neuf peut varier entre 1 500 et 9 000 euros. Les gommes sont dans cette catégorie à gomme dure et le moteur est de 100cc.
Il existe de nombreuses autres catégories comme le Rotax Max, le X 30, le Rotax DD2, le KZ125, l’Endurance, le Superkart 250, etc, qui imposent une réglementation quant aux karts qui prennent le départ.
Un moteur de kart à 4 temps ou à 2 temps ?
Il existe des moteurs à 4 temps. Il s’agit d’un moteur à combustion interne, combustion qui dégage de l’énergie thermique et qui se transforme en énergie mécanique dans le moteur. Le moteur à 4 temps est fiable et permet ainsi au conducteur de se concentrer sur l’apprentissage du kart.
Un moteur à 2 temps est composé de pièces appelées pistons qui se déplacent dans des cylindres. Le premier temps correspond à la compression et la combustion du mélange air-carburant. Le second temps correspond à l’expulsion des gaz produits par la combustion et l’admission du mélange air-carburant.
Certains pilotes préfèrent le moteur à 2 temps puisque celui-ci est censé être plus léger et offre un bon châssis en matière de tenue de route. Toutefois, si vous avez besoin de sécurité, il est toujours recommandé de se tourner vers le moteur à 4 temps.
Il existe aussi des karts électriques. La motorisation électrique se développe sur les pistes de location, spécifiquement sur les pistes en intérieur où l’absence d’émission de gaz polluants est un véritable atout.
Prêt à franchir le pas ? Avec tous ces conseils, on espère que vous terminerez grand gagnant lors de vos futures courses. On se dit à une prochaine sur un circuit alors ?
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Par : Cyrille Antonin
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